Isabelle a ri avec colère, « tu es très bon ! »Après un long moment, Isabelle s'est ressaisie.Albert n'a pas pu s'empêcher de rire et l'a aidé lentement à mettre ses vêtements : « Ma Isabelle est de plus en plus forte. Il semble que j'enseigne plutôt bien. »« Oui, ça te rend plus séduisante. » Les joues d’Isabelle ont gonflé de colère. Cet homme arrogant est devenu de plus en plus effronté et lui a même joué des tours.Voyant Isabelle s’énerver de plus en plus, les yeux d’Albert sont devenus plus tendres. On dit que lorsqu'une femme tombe amoureuse d'un homme de tout son cœur, elle se comportera comme une petite fille et sera collante.Il l’a serré dans ses bras avec satisfaction et a dit d'une voix rauque : « D'accord, je viens de découvrir une chose aujourd'hui. Béatrice était au courant à propos de l'enlèvement de ma mère. »Isabelle s'est arrêtée : « Alors, elle l’a caché au grand-père Brunerie ? »Les yeux d’Albert étaient froids et sévères : « Elle a caché des choses au grand-
Les yeux d’Albert se sont baissés, puis il a levé sa main pour couvrir l'arrière de sa tête, approfondissant le baiser en retour. Même si ce n'était qu'une signification symbolique de la grande roue ou une légende dispensable, il était prêt à être là pour elle lorsqu'elle faisait une scène. À la fin du long baiser, les joues d’Isabelle étaient rouges et elle était presque à court d'oxygène. Albert s'est frotté la tête et a ri bêtement, « ça fait si longtemps et tu ne peux toujours pas respirer ? » Isabelle a cligné des yeux et n'a rien dit. « On dirait que je vais devoir t'apprendre. » Albert lui a pressé le menton du bout des doigts et l'a embrassé à nouveau. Après un autre long moment, Isabelle a quitté ses lèvres, ses joues étaient rouges et elle était à bout de souffle. Craignant qu'il ne recommence, elle l'a poussé précipitamment : « Ok, ok, je sais le faire ! » Si elle l’embrassait encore, sa bouche serait gonflée de baisers. Ils sont descendus tous les deux de la g
Albert s’est précipité à ses côtés.Isabelle a couvert la blessure de la petite fille et a dit avec un visage pâle : « Albert, elle s'est égarée avec sa famille et a été blessée, nous ne pouvons pas la laisser sans rien faire. »« Je sais, emmène-la se cacher d'abord. » « Et toi ? »Voyant qu'il était sur le point de se lever, Isabelle l'a attrapé, « ils sont trop nombreux, ils sont là pour toi, tu ne peux pas sortir et prendre des risques ! »Elle avait entendu dans la foule tout à l'heure que ces gens en voulaient à la vie d’Albert !Albert a embrassé ses lèvres, frottant le coin de ses yeux du bout des doigts, « ne t'inquiète pas, ça ira, cache-toi et attends-moi. »Albert s’est levé et est sorti.Isabelle a voulu lui tenir la main, mais en vain. De plus, la petite fille dans ses bras pleurait à cause de la douleur. Elle est rapidement revenue à ses esprits et l'a réconforté en anglais, « Don't worry, nothing will happen. I'll take you out, okay ? » La petite fille a cessé de ple
Les yeux bleu azur de l'homme en noir étaient fixés sur elle, le sang bouillonnait dans son corps, sa gorge ne pouvait s'empêcher de rouler, mais alors qu'il vacillait légèrement, Isabelle a brusquement évité l'arme et s’est levé. « Bang ! » La balle a manqué son but. Mais Isabelle s'était depuis longtemps retrouvée derrière lui, l'étranglant avec son bras autour de son cou dans une prise d'étranglement mortelle, ses yeux étaient impitoyables, « Albert... Where is he ? » L'homme en noir a dit quelque chose et Isabelle l’a fait tomber à terre, a saisi son arme et a couru à l'intérieur. De l'autre côté, plusieurs des hommes en noir derrière elle avaient été abattus par Albert et gémissaient au sol. Albert a plaqué le dernier homme en noir au sol. Alors que ce dernier se levait pour attraper son arme, il l’a repoussé d'un coup de pied. Sa chemise, qui avait été repassée, était froissée et déchirée. Il avait des bleus sur les bras et le dos, et même les bouts de ses cheveux éta
Un coup de feu a retenti. La balle a atteint Albert. Isabelle s’est figée, ses pupilles se sont alors rétrécies. Sous l'ombre de la lampe, son visage est devenu doux, mais aussi terne. Sous l’effet de l’échec, se trouvaient ses yeux qui la fixaient profondément. Il a levé la main pour lui caresser la joue, les coins de sa bouche avaient un doux sourire, « Isabelle, n'aie pas peur, je ... » Il a baissé la tête et s'apprêtait à embrasser ses lèvres, mais il est lentement tombé au moment de les toucher. Isabelle était occupée à tenir son corps, surprise de constater qu'il avait reçu une balle dans le dos. De chaudes larmes ont coulé de ses yeux, elle l'a serré dans ses bras et a crié : « Non, pas ça, Albert, tu ne peux pas t’endormir, je ne te permets pas de m'abandonner ! » Maloé et Cécile sont arrivés sur les lieux avec la police et ont été secoués lorsqu'ils ont vu Isabelle serrer Albert et pleurer amèrement : « Monsieur Albert… »L'ambulance roulait à toute vitesse sur la
Après l'avoir vu, Liville a dit quelque chose au médecin et s'est dirigé vers elle, « Isabelle, tu es encore à l'hôpital ? »Isabelle a souri avec peine : « Où puis-je aller si je ne suis pas à l'hôpital ? » Après avoir fini de parler, elle a regardé Liville, « de quoi avez-vous parlé au médecin ? »Liville a fait une pause et a répondu avec un sourire : « Je viens de poser des questions sur la situation de monsieur Albert. »« La situation est-elle compliquée ? » a demandé Isabelle. Voyant que Liville ne l’a nié pas, elle a baissé les yeux et sa voix était un peu rauque. « Est-ce que sa situation est grave ? »« Eh, oui. » Le visage de Liville était un peu compliqué. Si cela n'était causé que par une blessure par balle, ce serait bien de lui sauver la vie. Mais la situation d’Albert semblait être plus compliquée qu’une simple blessure par balle.Isabelle était sur le point de dire quelque chose quand elle a soudainement reçu un appel de son père de Chine.Elle a hésité un instant avan
Non seulement on avait trouvé la présence du Larvévirus dans la source d'eau de l'hôtel à ce moment-là, mais aussi dans la source d'eau disponible à d'autres endroits, de sorte que le déclenchement de la catastrophe n'était pas une catastrophe naturelle, mais d'origine humaine.Si Albert était vraiment infecté, cela prouvait que ses inquiétudes étaient fondées, et que certaines personnes n'avaient abandonné toujours pas la recherche du virus génétique.**Isabelle est retournée à l'hôtel, et quand elle a vu le vieux monsieur Brunerie et Maloé sortir, elle a été un peu surprise.Quand le vieil homme l’a revue, son visage était plein de colère, « as-tu oublié ce que tu m'as promis, Albert est maintenant hospitalisé à cause de toi, es-tu satisfaite ? »Isabelle a baissé la tête : « Désolée... »Maintenant, elle ne pouvait même plus le réfuter, car c'était bien à cause d'elle qu’on avait tiré sur Albert et qu’il était hospitalisé.Le visage du vieil homme était sérieux, « Albert est déjà t
Mais elle voulait juste rester avec lui. Elle ne voulait pas le laisser seul, mais à la fin, elle l'a quand même blessé.Cécile a vu qu'elle était un peu frustrée. Elle a mis ses mains sur ses épaules et a dit sérieusement : « Belle-sœur, c'est un acte lâche de reculer face aux difficultés. Vous devez surmonter ensemble le problème, donc vous pourriez le résoudre. Est-ce que c’est toi qui as blessé monsieur Albert ? »« En fait non, nos ennemis sont toujours ces gens. Même si tu n'avais pas été présente, il aurait été inévitable que monsieur Albert ait cette crise. »Après avoir écouté les paroles de Cécile, Isabelle a soudainement souri : « Je n'aurais jamais pensé que tu serais doué pour réconforter les gens. »Cécile s’est maladroitement grattée la tête et a souri.Isabelle est allée sur le canapé et s'est assise, « au fait, Béatrice est avec ces gens maintenant, n'est-ce pas ? »« Eh bien, mon frère est déjà allé enquêter. Je ne m'attendais pas à ce que Béatrice ait vraiment quelqu